Abschied von Pascin



16. Jan. 25.

Je suis été à Paris,
Et c’était le premier fois.
Et j’ai vue au Jockey Kiki,
Belle en couleur et froid
Et amüsante et coquette,
Et froid – je disais –
Froid comme mon Bett;
Parceque je ne parle pas français.

Je suis été dans la Vache Enragée,
En Louvre et allwo pour les étrangers
Là bas et ici. –
Et Kiki et Paris
Ils ont la même mélodie et couleur.
Paris, et où est ton coeur?
Dans un coin, quel je ne connais,
Parceque je ne parle pas français.

Je suis été chez Pascin.
Et j’ai trouvé des amis;
Et un des plus bons s’appelle vin. –
J’aime Paris.

Pour vous, Pascin, merci bien!
Et je voudrais vous très plus dire, mais – mais
Je parle trop peu français.

Je suis beaucoup travaillé. –
Arriver – partir – rester et aller –
J’aime la monde sur la mars et jusque dieu.
Et dieu est comme merde très près de moi.
Aujourd’hui j’ai froid. –
Pascin, lebe wohl und adieu!
Und lieben auch Sie mich ein klein petit peu.


Dieses Kapitel ist Teil des Buches Reisebriefe eines Artisten III