Im Jahre 1797 wurde der Erbprinz volljährig und erhielt nunmehr seinen eigenen Hofstaat in Ludwigslust. ...

Im Jahre 1797 wurde der Erbprinz volljährig und erhielt nunmehr seinen eigenen Hofstaat in Ludwigslust. Sein Kavalier wurde der Kammerherr Detlof Joachim von Oertzen. 1) Am 25. Januar 1799 begab sich Friedrich Ludwig mit seinem Bruder Carl nach St. Petersburg und vermählte sich dort am 23. Oktober desselben Jahres mit Helene Paulowna, der am 24. Dezember 1784 geborenen Tochter des Kaisers Paul. Am 15. Februar 1800 fand in Schwerin, am 17. in Ludwigslust der feierliche Einzug des jungen Paares statt. Die in Petersburg verlebte Zeit ist für den Erbprinzen von höchster Bedeutung geworden: sie war sein erstes politisches Lehrjahr und hat nach seiner eigenen Aeußerung seiner weiteren Entwicklung die Richtung gewiesen.

Die Karnevalszeit des Jahres 1801 verlebte das erbprinzliche Paar am königlichen Hofe in Berlin; hier knüpften sich enge Bande der Freundschaft zwischen der Königin und der Erbprinzessin, wie auch Friedrich Ludwig und der König einander sehr werth wurden. Für das Frühjahr war ein Besuch in Petersburg geplant, Kaiser Paul hatte für die Ueberfahrt ein russisches Kriegsschiff zu schicken verheißen. Je mehr sich Helene Paulowna gesehnt hatte, ihre Eltern wiederzusehen, um so schwerer wurde sie betroffen durch die Nachricht vom Ableben ihres Vaters am 23. März, die der neue Zar selbst seinem Schwager mittheilte. Daß Kaiser Paul einem Mordanschlage zum Opfer gefallen war, verschwieg man seiner Tochter, erst viel später wurden die Einzelheiten jener Schreckensnacht bekannt. Die Reise nach Rußland wurde indessen durch diesen Todesfall nicht beeinträchtigt; Helene Paulowna fühlte sich gedrängt, sich in die Arme ihrer Mutter zu werfen, zudem hatte Kaiser Alexander den Erbprinzen eingeladen, bei der Krönung in Moskau gegenwärtig zu sein.


Da er kein Schiff zur Verfügung stellte, mußte die Reise, die am 11. Mai angetreten wurde, auf dem beschwerlicheren Landwege gemacht werden. Der Krönung am 27. September wohnten aber der Erbprinz und seine Gemahlin nicht bei, sie verließen Petersburg schon vorher, nahmen unterwegs einen längeren Aufenthalt in Potsdam und waren am 17. Oktober wieder in Ludwigslust.

In Petersburg wie in Potsdam entfaltete Friedrich Ludwig eine eifrige politische Thätigkeit im Sinne einer Verständigung zwischen Rußland und Preußen, der eine persönliche Begegnung der Herrscher beider Länder das Siegel aufdrücken sollte. 2) Bei dieser Begegnung, welche die Isolierungstendenzen des Ministers Kotschubei empfindlich durchkreuzte, weshalb er auch in seinem Aerger den Vermittler Friedrich Ludwig mit einem derben Scheltwort belegte - bei dieser Begegnung, die im Juni 1802 in Memel stattfand, war der Erbprinz zugegen, dessen flüchtig hingeworfene Aufzeichnungen aus diesen Tagen hier eine Stelle finden mögen.

ce 3 de Juin 1802.

Arrivé à Königsberg à 9 heures du soir, descendus à l’hôtel allemand. Souper avec Dolgorouky et Chykoff, qui va voyager en Europe pendant quelques années.

ce 4 Juin.

Visites faites et reçues le matin, dîner chez moi avec la société d’hier soir. A 5 heures l’après - midi arriva le roi qui descendit au quartier général à Kalthoff à un quart de lieue de la ville, tout près du Camp. J’allai incessamment lui faire ma cour, j’attendis un instant pendant que le roi donna le mot et ses ordres pour demain aux généraux. Ensuite Sa Majesté me fit entrer avec tous ceux qui étaient venus lui faire leur cour. Après un quart d’heure d’audience nous fûmes congédiés, et le roi me fit signe de rester, et m’ordonna de passer la soirée avec lui. Il daigna me dire les choses les plus flatteuses et amicales, et m’entretint de sa joie de faire la connaissance de l’empereur. C’était bien son coeur qui parlait, et assurément jamais entrevue entre deux grands souverains ne se ferait avec plus de joie réciproque que celle - ci. Un instant après la reine arriva ainsi que les princes Henry et Guillaume frères du roi. Nous prîmes le thé, allâmes nous promener dans une salle de bois qu’on a préparée pour les grands dîners, le quartier du roi ne consistant que dans deux chambres excessivement étroites. Nous soupâmes ensuite. La société consistait dans Leurs Majestés, les deux princes, la dame d’honneur comtesse Moltke, les trois aides de camp généraux Kökeritz, Holzman, Bölzig, l’aide de camp Jagow, les deux chambellans Schilden et Buch et les gouverneurs des princes, Schliefen et Schak. Après le souper la reine prit congé du roi, et j’eus l’honneur d’accompagner en voiture Sa Majesté en ville au château. Les princes demeurent dans des maisons près de celle du roi. Tout autour de l’habitation du roi, que sur tout le passage de la reine il y avait une foule de monde immense, et partout brillait la joie de voir ses souverains, si tendrement chéris, à si juste titre.

ce 5 Juin.

A 6 1/2 au quartier général à cheval avec les généraux russes. La revue spécielle était superbe, a duré jusqu’à 10 heures et demie. Après, les ordres pour demain. Dîner à midi où se trouvait aussi la reine. A 4 heures fête sur l’eau, suivie d’un bal à la Bourse, nouveau et joli bâtiment, et illummation, le général Courbière a reçu l’aigle noir.

ce 6 Juin.

A 6 1/2 comme hier au quartier général, revue, les soi - disant Schulmanoeuvres qui ont fort bien réussi. Une pluie très - forte. Dîner comme hier, à 4 heures de l’après - midi, cour chez la reine, après thé dansant chez le grand - maréchal comte Döhnhoff. A minuit je pars pour Memel, avec Both, en prenant la route du Strand où le roi a ordonné de préparer des relais pour moi. Oertzen est déjà parti ce midi en prenant la route de Tilsit.

ce 7 Juin.

Parti la nuit à 12 de Königsberg, des relais à chaque mile, arrivé à Memel à 6 heures du soir, je loge chez un marchand nommé Schonenburg, j’ai un appartement charmant très - élégamment meublé. Je suis servi de la part de la cour. Je loge à côté de la maison du consul danois, où logeront Leurs Majestés prussiennes. J’ai soupé chez Massow. On me dit que le prince Henry de Wurtemberg 3) est incognito ici, et qu’il veut se rendre à Polangen pour parler l’empereur.

ce 8 Juin.

J’ai été voir le matin la maison du négotiant où logera l’empereur, elle est charmante et bien meublée, elle a encore un charmant jardin. A midi j’ai dîné chez M. de Thumen commandant de Memel avec les généraux, nous sommes passés après le Haff pour recevoir Leurs Majestés prussiennes qui sont arrivées à 6 heures de l’après - midi. Elles ont fait leur entrée en bateaux, et sont allées de cette manière jusqu’à l’hôtel préparé pour leur réception. La reine me fit confidence que le roi se trouvait dans un grand embarras, craignant que Bonaparte eût fait des siennes, pour brouiller les deux jeunes monarques à leur entrevue. Il y a quelques jours, que le roi reçut un courrier avec les indemnisations projetées, un second l’engage de la part du consul, de parler de tout ceci à l’empereur, à l’instant d’après en arrive un autre, pour le prier de ne faire mention de rien à l’empereur, mais de faire comme s’il recevait tout cela de sa part, et comme arrangé par lui. Un troisième l’avertit qu’il y avait un officier français en chemin, pour porter des lettres à l’empereur et au roi du consul. Sa Majesté prussienne n’a point été en doute sur la duplicité de ces procédés, et se propose, de faire un aveu net et sincère à l’empereur dès le moment de son arrivée pour prévenir toute mauvaise impression qu’on pourrait avoir l’intention de suggérer.

Aprés que le roi eut fini de donner ses ordres aux généraux je suppliai Sa Majesté de m’accorder un moment d’audience, où je mis sous ses yeux tous les papiers concernants la désagréable histoire Suédoise, et réclamer en cas [de] besoin sa protection pour nous. Sa Majesté fut également indignée du procédé et elle eut la grâce de m’assurer qu’elle serait charmée de faire pour nous tout ce que les circonstances lui permettraient de faire. 4)

Je soupai encore avec Leurs Majestés, et puis me mis en voiture, pour aller à la rencontre de l’empereur.

ce 9 Juin.

Je courus toute la nuit et arrivai vers 7 heures du matin à Oberbartau en Courlande, où l’empereur devait arriver pour dîner, je m’arrêtai donc là jusqu’à son arrivée, qui n’eut lieu qu’à 4 heures passées de l’après - midi. Notre joie fut extrême de nous revoir. Après le dîner nous continuâmes notre route pour Polangen. Chemin faisant l’empereur fit ses affaires, du moment qu’elles furent finies, il me fit entrer dans sa voiture, et nous arrivâmes ainsi ici. D’abord après le prince Henry de Wurtemberg se fit annoncer. L’empereur lui fit dire, combien il trouvait son arrivée singulière et osée, après il le fit venir, le prince pleura beaucoup, et représenta toutes ses infortunes à l’empereur, qui avec sa bonté ordinaire trouva bientôt des moyens de consolation pour lui. On soupa ensuite, je restais encore longtems chez l’empereur qui m’ordonna d’écrire au roi pour l’assurer de toute son amitié, et lui dire qu’il viendrait sous le nom du comte de Russie. La suite de l’empereur est, le comte Kotschubey, le comte Tolstoi, grand - maréchal, le chambellan et sénateur Nawaschoff, et les aides de camp généraux prince Dolgorouky, prince Volconsky, et comte Lieven, encore le médecin Wely. Comme il a été stipulé qu’à cette entrevue il n’y aurait pas question de politique, l’empereur craignait qu’on pourrait interprêter mal l’arrivée de Kotschubey, il m’a donc chargé de dire au roi qu’il l’avait pris ainsi que Nawaschoff comme secrétaires avec, qu’il les avait choisis, connaissant leur probité et leur honnêteté.

ce 10 Juin.

Le fameux courrier est arrivé de Bonaparte, il a voulu donner sa lettre lui - même, Kotschubey lui a dit que cela n’était pas d’usage, il a répondu qu’il avait bien donné une au roi de Prusse, malgré tout cela il a fallu donner la lettre, il a dit qu’il devrait en faire le rapport au 1er consul, et l’on a prié de ne point se gêner. L’empereur lui a parlé après avant de partir très - froidement un instant. Le prince Henry de Wurtemberg a encore demandé un cordon à l’empereur. Malgré tout ce que nous avons fait, nous n’avons pu le dissuader de se présenter au roi. Cela se fera demain à midi, après il partira.

A 9 1/2 nous sommes partis de Polangen, j’étais dans la voiture de l’empereur. A la frontière, le général de cavallerie comte Kalckreuth, le lieutenant général comte Kuhnheim, le général major Treskow, et le major comte Döhnhoff out reçu l’empereur, ces messieurs sont destinès pour son service. Un détachement d’huzards qui s’est relevé tous les quarts de miles, a accompagné la voiture. A demi - chemin le chambellan Schilden est venu complimenter de la part de la reine. Comme on s’est approché du Camp qui est à quelque distance de la ville, on a tiré constamment le canon. Le roi est venu avec les princes ses frères Henry et Guillaume à la rencontre de l’empereur, qui aussitôt est descendu de voiture, et est allé embrasser le roi. Les premiers compliments finis, les deux souverains et nous autres sommes montés à cheval, et c’est ainsi que l’entrée s’est faite, précédée par un escadron de cavallerie, et puis la garde bourgeoise de Memel à cheval. Les rues étaient bordées de troupes en parade, on est descendu chez le roi, où la reine a reçu son auguste gaste en grande parure. On est resté ensemble jusqu’au dîner, et alors la connaissance de Leurs Majestés était déjà si bien faite, comme si elles s’étaient connues depuis longtems. On a présenté à l’empereur toutes les personnes de la cour et les étrangers. Après le dîner l’empereur s’est retiré chez lui et a prié le roi, de dispenser les personnes destinées à son service, il a également renvoyé la garde d’honneur d’une compagnie de grenadiers, qui se trouvait à la porte de sa maison, il a fait donner 200 ducats aux soldats, et des boites d’or aux officiers. Dans l’après - dîner l’empereur a eu la bonté de faire des visites, sous le nom de comte de Russie aux généraux et à toute la suite du roi, de même qu’aux dames de la reine. Le roi et les princes sont venus faire visite à l’empereur, ce dernier a envoyé le cordon de Saint - André aux deux frères du roi. A 7 heures l’empereur s’est rendu chez la reine, où on a pris le thé, causé et puis soupé à de petites tables. Je suis au pinacle du bonheur que ces souverains se conviennent si parfaitement bien, l’un et l’autre m’en ont beaucoup parlé. Les Russes se sont montrés ce soir comme ils le sont toujours, faux et impertinents, non par leur conduite extérieure, mais j’ai eu occasion d’entendre leurs propos.

ce 12 Juin.

Le 11 matin manoeuvre. Le roi a salué l’empereur à la tête de la cavallerie avec l’épée, et après de même avec l’infanterie. Après l’empereur est allé déjeuner chez la reine avec moi, il n’y avait que la roi. Dîner comme de coutume, le prince Henry de Wurtemberg a eu la Sainte - Anne, a dîné chez le roi et partira demain. Le soir Leurs Majestés et aussi la reine ont été à cheval au Camp et puis se sont promenés en ville, la soirée était très - gaie ainsi que le souper. Passé la nuit à écrire. Ce matin manoeuvre, qui a fort bien réussi. On s’est promene à cheval au port, accredité (?) du colonel anglais. Après déjeuner comme hier chez la reine, dîner et le soir la fête de la bourgeoisie, savoir un bal dans une maison fort bien arrangée, et le soir la ville était illuminée.

le 13 Juin.

Le matin à 7 1/2 manoeuvre, après on est resté chez la reine jusqu’à 1 heure. Dîner comme toujours, au soir un petit bal chez le roi, qui a été des plus amusants et qui a duré jusqu’à 1 heure la nuit passée. L’empereur a repris Alopeus à son service, ce que je compte parmis les événements heureux. Mon jour de naissance.

le 14 Juin.

Il n’y avait pas de manoeuvre, j’ai écrit, après j’ai été voir la princesse Alexandre de Wurtemberg avec l’empereur qui est arrivée hier soir avec son mari 5) qui m’a fait l’honneur de passer chez moi. Après jusqu’à 1 heure chez la reine. Dîner comme toujours. Le prince et la princesse de Wurtemberg y étaient. La reine a pris des crampes assez fortes après table, on a cherché Wely médecin de l’empereur. L’après - dîner la princesse Alexandre a été chez moi, après j’ai écrit chez Schilden, et après chez la reine pour le thé, promenade à cheval et en voiture au Camp et à la mer. La famille et les princes ont soupé seuls à cause de l’incommodité de la reine, et on a été d’une gaieté folle.

le 15 Juin.

Comme il a plu toute la nuit, la manoeuvre n’a commencé qu’à 10 heures passées, jusque là l’empereur a passé la matinée chez Leurs Majestés, de même après la manoeuvre, puis dîner. L’après - dîner il y a eu une cour de congé chez l’empereur. Il a donné le cordon bleu à Kalkreuth, et de superbes cadeaux à tout le monde. Le roi en a fait de même, pour la suite de l’empereur, Kotschubey a reçu l’aigle noir. Après nous avons été avec l’empereur chez la princesse de Wurtemberg, et puis toute la soirée chez Leurs Majestés. Nous avons encore fait un tour à cheval au Camp. Après le souper, la cour russe a pris congé du roi, et la prussienne de l’empereur. Celui - ci est encore resté longtems chez Leurs Majestés prussiennes, et il a eu une longue conversation seul avec le roi. A minuit j’ai accompagné l’empereur chez lui et j’ai encore causé tout un tems avec lui. -




1) S. über ihn unten Anm. zum 30. Mai 1811.

2) Vgl. H. Ulmann: Russisch-Preußische Politik unter Alexander I. und Friedrich Wilhelm III. bis 1806. Leipzig 1899. S. 1 ff., besonders 23 ff.

3) Prinz Heinrich von Württemberg, jüngster Bruder des Herzogs (späteren Königs) Friedrich, geb. 1772, stand im preußischen Militärdienst, den er, damals Oberst, einmal wegen seiner Schulden und sodann darum hatte verlassen müssen, weil er sich 1798 morganatisch vermählt hatte mit der Schauspielerin Caroline Alexei, der Tochter eines Gutsbesitzers in Ludwigsdorf bei Strehlen in Schlesien, die später zur Gräfin von Urach erhoben wurde. Prinz Heinrich lebte damals unter dem Namen eines Grafen von Sontheim in Berlin. Es war gewagt von ihm, sich dem Kaiser Alexander (seinem Neffen, denn des Prinzen Schwester war die Kaiserin Maria Feodorowna, die Gemahlin Kaiser Paul’s I.) zu nähern, denn sein Bruder, der regierende Herzog, hatte am 20. Mai einen Sonderfrieden mit Frankreich geschlossen und dadurch die Pläne Rußlands durchkreuzt. Die infortunes, die er dem Kaiser klagte, waren zweifellos seine Schulden und die Unmöglichkeit, nach seiner Verheirathung eine Stellung zu erhalten. Diese ganzen Verhältnisse mußten auch dem Könige von Preußen ein Wiedersehen peinlich machen und es begreift sich daher, daß man den Prinzen zu verhindern suchte, sich dem Könige vorzustellen. (Gütige Mittheilungen des Herrn Archivraths Dr. Schneider in Stuttgart.)

4) Damals schwebten zwischen Meklenburg und Schweden die Verhandlungen über die Abtretung der Stadt und Herrschaft Wismar, die gewissermaßen ein Nachspiel bildeten zu der peinlichen Auseinandersetzung zwischen dem meklenburgischen und dem schwedischen Hofe wegen Verlöbnißbruches, dessen sich König Gustav IV. Adolf gegen die Prinzessin Luise Charlotte, älteste Tochter des Herzogs Friedrich Franz, schuldig gemacht hatte. S. die Darstellung bei L. von Hirschfeld „Eine fürstliche Entlobung im vorigen Jahrhundert“ in „Von einem deutschen Fürstenhofe“ I, S. 1 - 68.

5) Prinz Alexander von Württemberg, Bruder des Prinzen Heinrich (s. oben), geb. 1771, war russischer General und Gouverneur von Lief- und Kurland. Seine Gemahlin Antoinette war eine Prinzessin von Sachsen- Coburg-Saalfeld. Demselben Hause entstammte Charlotte Sophie, die Mutter des Herzogs Friedrich Franz.